Château Sainte Roseline
Monument › Château
Le Château Sainte Roseline est idéalement situé, à trente minutes de la baie de Saint-Tropez et de la Croisette de Cannes, des Gorges du Verdon ou d’Aix-en-Provence. Sur un même terroir millénaire, l’art (ancien et contemporain) et l’art du vin s’y épanouissent en harmonie.
Tout a commencé autour d’une source. Et l’on connaît, à travers les romans de Giono et de Pagnol, l’importance de l’eau en Provence. La source abondante de ce site a en effet conduit au milieu du Xème siècle un ermite dénommé ROUBAUD à s’y retirer.
Petit à petit, d’un simple oratoire, une abbaye voit le jour et prend le nom de la CELLE-ROUBAUD. Roseline, fille du Marquis de Villeneuve, Seigneur des Arcs, fut la Mère Prieure de l’Abbaye de 1300 à 1329. Très pieuse et généreuse, elle marqua fortement la population locale et c’est tout naturellement qu’on donna son nom au lieu. Elle fut sanctifiée au XIX siècle et son corps repose aujourd’hui sous une châsse de verre dans la chapelle communale.
Au XIV siècle, sous l’impulsion de l’évêque de Fréjus, futur Jean XXII, Pape en Avignon, le site devint un des premiers vignobles de Provence. Il a toujours gardé son rôle de leader puisque Henri de Rasque de laval, précédent propriétaire, fut le premier Président du Syndicat des Vignerons du Var.
En 1994, Bernard TEILLAUD reprend en mains les destinées de cette prodigieuse propriété avec pour objectif d’en faire un des fleurons de la viticulture méridionale et un haut lieu artistique.
Pour mener à bien la rénovation complète de l’abbaye et afin de préserver la noblesse des lieux, Bernard TEILLAUD a fait appel à l’architecte Jean-Michel Wilmotte. Sa mission a été de donner au Château une nouvelle distribution intérieure tout en respectant les contraintes de l’histoire.
En 2007, Aurélie BERTIN TEILLAUD, fille de Bernard reprend la destinée de cette belle propriété avec pour objectif d’investir au maximum sur la qualité et la recherche d’une personnalité différente et authentique pour chacun des vins du domaine.
De plain-pied dans la culture (de l’esprit et de la vigne), ce lieu exceptionnel est ainsi une invitation au recueillement et à la contemplation, mais aussi à la dégustation et à la convivialité autour d’une palette extrêmement raffinée de Côtes de Provence rouges, rosés et blancs.
Le Cloître du XIIème siècle déploie de belles ogives mi-gothiques, mi romanes. Au pied d’un des piliers décorés de nombreux rosiers, subsiste un pied de Carignan de près de cent quarante ans !
Une somptueuse rangée de vieux platanes conduit au parc où un vaste bassin bordé de séquoias laisse bruire l’eau de la source qui coule en cascade jusqu’à leurs racines géantes. Devant la façade du Château s’imposent deux gigantesques platanes du XVIIIè siècle et une pièce d’eau ovale ceinte par des haies de buis qui dessinent les motifs d’un jardin à la française.
Tout a commencé autour d’une source. Et l’on connaît, à travers les romans de Giono et de Pagnol, l’importance de l’eau en Provence. La source abondante de ce site a en effet conduit au milieu du Xème siècle un ermite dénommé ROUBAUD à s’y retirer.
Petit à petit, d’un simple oratoire, une abbaye voit le jour et prend le nom de la CELLE-ROUBAUD. Roseline, fille du Marquis de Villeneuve, Seigneur des Arcs, fut la Mère Prieure de l’Abbaye de 1300 à 1329. Très pieuse et généreuse, elle marqua fortement la population locale et c’est tout naturellement qu’on donna son nom au lieu. Elle fut sanctifiée au XIX siècle et son corps repose aujourd’hui sous une châsse de verre dans la chapelle communale.
Au XIV siècle, sous l’impulsion de l’évêque de Fréjus, futur Jean XXII, Pape en Avignon, le site devint un des premiers vignobles de Provence. Il a toujours gardé son rôle de leader puisque Henri de Rasque de laval, précédent propriétaire, fut le premier Président du Syndicat des Vignerons du Var.
En 1994, Bernard TEILLAUD reprend en mains les destinées de cette prodigieuse propriété avec pour objectif d’en faire un des fleurons de la viticulture méridionale et un haut lieu artistique.
Pour mener à bien la rénovation complète de l’abbaye et afin de préserver la noblesse des lieux, Bernard TEILLAUD a fait appel à l’architecte Jean-Michel Wilmotte. Sa mission a été de donner au Château une nouvelle distribution intérieure tout en respectant les contraintes de l’histoire.
En 2007, Aurélie BERTIN TEILLAUD, fille de Bernard reprend la destinée de cette belle propriété avec pour objectif d’investir au maximum sur la qualité et la recherche d’une personnalité différente et authentique pour chacun des vins du domaine.
De plain-pied dans la culture (de l’esprit et de la vigne), ce lieu exceptionnel est ainsi une invitation au recueillement et à la contemplation, mais aussi à la dégustation et à la convivialité autour d’une palette extrêmement raffinée de Côtes de Provence rouges, rosés et blancs.
Le Cloître du XIIème siècle déploie de belles ogives mi-gothiques, mi romanes. Au pied d’un des piliers décorés de nombreux rosiers, subsiste un pied de Carignan de près de cent quarante ans !
Une somptueuse rangée de vieux platanes conduit au parc où un vaste bassin bordé de séquoias laisse bruire l’eau de la source qui coule en cascade jusqu’à leurs racines géantes. Devant la façade du Château s’imposent deux gigantesques platanes du XVIIIè siècle et une pièce d’eau ovale ceinte par des haies de buis qui dessinent les motifs d’un jardin à la française.
- · Dépose minute
- · Fontaine à eau